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guillaume

29 mai 2009

Présentation personnelle

MOI

Bonjour,

dred_femelle_parchemin_04Je me nomme Guillaume Beylard. Je suis un passionné de dessin et de 3D.
je fais actuellement une formation d'accès à la qualification TIM (Technicien Intégrateur Multimédia) au CNA-CEFAG, une école spécialisée dans le domaine du multimédia.

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je suis également un membre d'un club 3D, créée par "les Jardins Numériques" (une association proposant des locaux dans Paris ainsi que des cours dans le domaine du multimédia), où l'on conçois en ce moment la modélisation d'un site en 3D pour un FJT à Paris.

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Je participe aussi à la construction d'un site de jeu de rôle où je suis chargé de dessiner les principales illustrations, c'est-à-dire les races, les bannières, etc..., en voici d'ailleurs le lien (les dessins de type "manga" ne sont pas de moi) : http://asterigan.free.fr/

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29 mai 2009

Quelques Logiciels de création Multimédia

adobe_photoshop_cs2Photoshop est un logiciel de retouche, de traitement  et de dessin assisté par ordinateur édité par Adobe. Il est principalement utilisé pour le traitement de photographie numérique, mais sert également à la création d’images ex nihilo.

Photoshop est un logiciel travaillant sur images matricielles (également appelées "bitmap", à ne pas confondremario_portrait_photoshop avec le format d’enregistrement windows bitmap) car les images sont constituées d’une grille de points appelés pixels. L’intérêt de ces images est de reproduire des graduations subtiles de couleurs.

homer_simpson_en_vraiReconnu aussi par les infographistes professionnels à travers sa puissante galerie de filtres et d’outils graphiques performants, il est maintenant enseigné dans les plus grandes écoles, instituts des Beaux-Arts et utilisé par une grande majorité des studios et agences de créations.



images_2Adobe Illustrator est LE logiciel de créations graphiques vectorielles de référence dans les environnements professionnels. Il fait partie de la gamme Adobe et peut être utilisé indépendamment ou en complément de Photoshop, offre des outils de dessin vectoriel puissants.

Les images vectorielles sont constituées de courbes générées par des formules mathématiques. L'un des outils principaux d'Illustrator étant « la plume » qui permet de tracer des courbes à l'aspect parfait grâce au placement de points d'ancrage et de tangentes qui vont en modifier la courbure. Un des avantages des images vectorielles est qu'elles ne sont pas dépendantes de la résolution, c’est-à-dire qu'elles ne perdent pas en qualité si on les agrandit.

Adapté aussi bien à la création de document papier qu'à celle d'illustrations pour Internet (logos, affiches, etc.) ce logiciel est orienté vers le marché professionnel, il intègre de nombreuses options propres à améliorer la productivité.

images_4Adobe Indesign est un logiciel de mise en pages ou PAO créé par la société ADOBE en 1999. Il est utilisé pour créer des magazines, des journaux, des livres, des plaquettes... Comme ses concurrents, il est axé sur la forme et permet d'appliquer des mises en pages beaucoup plus complexes et créatives qu'un logiciel de traitement de texte, qui est axé, lui, sur le contenu. Ses grands rivaux sont le logiciel XPress , de la société Quark et le logiciel Scribus distribué sous licence GNU PL. InDesign en est actuellement à sa cinquième version. Le logiciel est intégré dans Creative Suite 4 (ou CS4).

images_10Adobe Dreamweaver (anciennement Macromedia Dreamweaver) est un éditeur de site WEB de type « tel écrit tel écran » (cette formule remplaçant désormais dans la terminologie informatique le sigle anglophone WYSIWYG (What You See Is What You Get : ce que vous voyez est ce que vous obtenez).

Dreamweaver fut l'un des premiers éditeurs HTML  de type tel écrit tel écran, mais également l'un des premiers à intégrer un gestionnaire de site (CyberStudio Golive étant le premier). Ces innovations le propulsèrent rapidement comme l'un des principaux éditeurs de site web, aussi bien utilisable par le néophyte que par le professionnel.

Dreamweaver offre deux modes de conception par son menu affichage.
L'utilisateur peut choisir entre un mode création permettant d'effectuer la mise en page directement à l'aideimages_1 d'outils simples, comparables à un logiciel de traitement de texte (insertion de tableau, d'image, etc). Il est également possible d'afficher et d'éditer directement le code (HTML ou autre) qui compose la page. On peut passer très facilement d'un mode d'affichage à l'autre ou opter pour un affichage mixte. Cette dernière option est particulièrement intéressante pour les débutants, qui à terme, souhaitent se familiariser avec le langage HTML.

Dreamweaver a évolué avec les technologies de l'internet.
Il offre aujourd'hui la possibilité de concevoir des feuilles de style (modèle de création). Les liaisons avec des bases de données ont également été améliorées ainsi que le chargement des fichiers sur les serveurs d'hébergement. Il propose en outre l'utilisation de modèles imbriqués de pages web, selon un format propriétaire.

Depuis la version MX, il peut être utilisé avec des langages web dynamiques (ASF, PHP ) à l'aide d'outils relativement simples d'utilisation. Il permet ainsi de développer des applications dynamiques sans connaissance préalable des langages de programmation.

images_9Adobe Flash (anciennement Macromedia Flash ; nom original Futursplash Animator), ou simplement Flash, se réfère à Adobe Flasher Player et à un logiciel multimédia utilisé pour créer le contenu de Adobe engagement platform (tel qu’une application Internet, jeux ou vidéos). Flash Player, développé et distribué par Adobe systems (qui acheta Macromedia  en 2005), est une application client fonctionnant sur la plupart des navigateurs Web. Ce logiciel permet la création de graphiques vectorielles et de bitmap, un langage script appelé Actionscript et un stream bi-directionnel de l’audio et video.

Pour être bref, Adobe Flash est un environnement de développement intégré (IDE), une machine virtuelle utilisée par un player Flash ou seveur flash pour lire les fichiers Flash. Mais le terme « Flash » peut se référerimages_7 à un lecteur, un environnement ou à un fichier d’application.

Depuis son lancement en 1996, la technologie Flash est devenue une des méthodes les plus populaires pour ajouter des animations et des objets interactifs à une page web ; de nombreux logiciels de création et OS sont capables de créer ou d’afficher du Flash. Flash est généralement utilisé pour créer des animations, des publicités ou des jeux vidéo. Il permet aussi d'intégrer de la vidéo en Steaming dans une page, jusqu'au développement d'applications Rich media.

images_6Les fichiers Flash, généralement appelés « animation Flash » sont au format .swf. Ils peuvent être inclus dans une page web et lus par le plugin Flash du navigateur, ou bien interprétés indépendamment dans le lecteur Flash Player.

 

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3D Studio Max
(ou 3dsmax) est un logiciel de modélisation et d'animation 3D, développé par la société Autodesk. Avec Maya , Softimage XSI, Lightwave, Houdini et Blender , il est l'un des logiciels de référence dans le domaine de l'infographie 3D .

Le logiciel est issu du programme 3D Studio qui a tourné sous DOS jusqu'à sa version 4. Les programmeurs de Kinetix (une division d'Autodesk rebaptisée maintenant Autodesk Media and Entertainment) ont développé un logiciel entièrement nouveau et repensé.

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3dsmax est ainsi conçu sur une architecture modulaire et supporte des plug-ins (extensions), ainsi que472cym0 les scripts écrits dans un langage propriétaire  (maxscript). Le logiciel s'est développé rapidement, en étant utilisé principalement dans le cadre du jeu video. Il a également été utilisé dans d'autres domaines, notamment le film d'animation avec Kaena : la prophétie. 3D Studio Max est également utilisé dans un nombre croissant de films dont : X-Men II, Bulletproof Monk, The Core, Final Destination II, Jason vs.Freddy..

Le logiciel est actuellement en version 2010 (3ds max 2010) et est développé par Autodesk (anciennement appelé Discreet, qui développe aussi Combustion et d'autres logiciels professionnels), et intègre de très 3d_studio_maxnombreuses fonctionnalités, comme le moteur de rendu, Mental ray, ainsi que le plugin Shave and Haircut de Joe Alter pour les rendu de cheveux et de poil, nouveautés de la version 8 ou le moteur d'animation  de personnage Character Studio, associé avec 3D Studio Max sous la forme d'un plugin.


29 mai 2009

Facteurs-clés de succèséconomique d’un site web

Facteurs-clés de succès
économique
d’un site web
 

Faculté d’attraction de visiteurs : acquérir des visiteurs via les différents médias disponibles, faire venir les internautes sur le site : pertinence du positionnement (référencement) du site, liens entrants, marque forte, notoriété de la marque, visibilité sur les sites sociaux, présence sur les carrefours d’audience, …

Faculté de collecte d’information :être capable de collecter des informations sur ces visiteurs, prospects, les exploiter et les analyser pour optimiser ses campagnes et son expérience utilisateur : Formulaire, adserving, web analytics, carte de fidélité …

Expérience utilisateur :facteur trop souvent négligé, l’expérience utilisateur reste une des meilleures façons de fidéliser un visiteur : Ergonomie, RIA, fonctionnalités diverses facilitant la navigation, widget à valeur ajoutée, funnel d’achat simplifié et intuitif …

1748Faculté de monétisation externe : la transformation d’un trafic en euros s’applique surtout aux marchands B2C/B2B mais un site corporate peu également y être confronté. En gros il faut pouvoir faire vendre. liens sponsorisés, pages optimisées, affiliation et animation de son réseau d’affiliés, (assez pertinent si on sait animer son réseau), pub (basique incontournable), boutique dédiée, e-mailing (toujours très efficace), jeu concours …    f8sep1971         


Faculté de buzz : assurer la « buzzabilité » du site : éléments viraux plus évolués que le « envoyez à un ami », présence active dans les réseaux sociaux, contenus suceptibles d’être diffusés par les utilisateurs, exploitation de vidéos, module de recommandation de produits à disposition des utilisateurs, user genrated content…

29 mai 2009

A quoi sert le Design Graphique sur un site web ?

A quoi sert le Design Graphique sur un site web ?

Un design graphique réussi sur un site web entraîne quatre impacts positifs :
      1 - identification du site,
      2 - apparence professionnelle suscitant la confiance,
      3 - amélioration du repérage des éléments de navigation,
      4 - valeur ajoutée au contenu textuel.

En contrepartie, certaines outrances peuvent détruire ces acquis en amenant une perturbation de la qualité de la consultation des pages. Tout est affaire d'équilibre. Qu'entendre par « Design Graphique » : Il ne faut surtout pas réduire à la présence d'illustrations le design graphique (ou design visuel) d'un site web.
Par « design graphique », il faut comprendre les éléments participant à l'impression visuelle laissée par un site au sens large :
- gabarit général des pages,
- présence d'illustrations (statiques ou animées) au sein du gabarit des pages ou de leur contenu,
- design de la navigation (textuel, boutons ou icônes),
- distinction entre les zones de chaque page,
- couleurs de fond de page et de texte,
- choix des polices et des tailles de caractères,
- etc...

De plus, les principes conceptuels techniques généraux du site participent de son apparence gé-
nérale : emploi restreint ou généralisé de technologies d'animation pour le contenu ou la naviga-
tion, ou au contraire prédominance du HTML, conduiront à définir des identités visuelles
radicalement différentes.

Le Design Graphique, source d'identification

Le premier rôle du design visuel est de permettre une parfaite identification du site sur lequel on se trouve, et ce même si on n'y arrive pas par la page d'accueil. Par conséquent, le logo de l'émetteur du site, sa marque, doivent être aisément repérables, en partie supérieure de la page.
De plus, Les choix de couleur et de composition de page devront permettre d'éviter toute confusion entre l'apparence d'un site et celui de ses concurrents directs (identification « différentielle »).
En contrepartie, une galaxie de sites appartenant à un même univers (par exemple un réseau d'hôtels
indépendants mais affiliés au même réseau de vente) ont tout intérêt à unifier le « look and feel » de leur site pour mettre en avant leurs avantages communs (identification par association).

Le Design Graphique, source de confiance

Sous certaines conditions, un bon design visuel peut améliorer la confiance du visiteur dans l'émetteur du site (toutes choses égales par ailleurs, cela ne suffit pas). Comment ? En prodiguant un gabarit de page constant au travers des pages et une composition rigoureuse et précise de celles ci. Un site dont la composition de page ferait trop « patchwork » ou souffrirait d'imprécisions graves verrait son potentiel de diffusion de confiance sérieusement entamé : un site au look professionnel véhiculera plus facilement une image professionnelle de la société qui l'édite.

Le Design Graphique, source d'ergonomie

Ce point est essentiel : un bon design graphique doit permettre de repérer facilement les choix de navigation offerts à l'internaute, et de distinguer clairement les zones dédiées au contenu des zones "fonctionnelles" :
•  navigation « contextuelle » (c'est à dire en rapport avec le contenu, par exemple les « liens as-
sociés »)
• navigation structurelle (les liens qui seront invariants tout au long du site, qui servent de repère
permanent à l'internaute)
Trop de sites rendent difficile cette distinction par des mauvais choix de polices, de contraste entre fond et texte, par un mauvais design des boutons, etc...
De plus, certains sites, en voulant « en mettre trop » sur chaque page, rendent la navigation peu compréhensible et réduisent considérablement l'espace-écran dédié au contenu. Mettre en valeur le contenu et simplifier la navigation suppose, au contraire, de s'en tenir à un nombre raisonnable de zones fonctionnelles. Les pages ou les choix de navigation sont les plus nombreux doivent être dédiées à cela (ex : yahoo et de nombreux portails) et dans ce cas, les choix de navigation deviennent le contenu du site : la navigation devient alors très "contextuelle" et donc efficace. (cf veblog, comment naviguent les internautes).

L'illustration peut souvent être un excellent complément de l'information textuelle : une bonne
image vaut mieux qu'un long discours.
Lorsque une photo, un schéma, un dessin, ou trois scènes de bande dessinée illustrent en un
coup d'oeil des concepts difficiles à décrire en mode textuel, alors le procédé vaut d'être employé.

Le coté obscur du Design Graphique : source de perturbation

Mal utilisé, le design graphique d'un site peut annihiler les bons côtés vus précédemment en détériorant l'expérience utilisateur :
- perturbation par la fatigue : des choix de couleurs trop vives, des contrastes trop brutaux (caractères verts sur fond rouge) ou au contraire trop mous (caractères marron clairs sur fond blanc « cassé »), ou encore trop d'animations sur les pages vont engendrer une fatigue visuelle rapide de l'internaute, qui ne sera pas ainsi incité à approfondir sa navigation sur le site. De plus, trop de richesse colorimétrique finit par contrarier la lecture des pages.
la multiplication excessive des signaux ("bruit de fond visuel") : Trop d'images, spécialement trop d'images animées, non directement reliées au contenu, réduisent les facultés de bien percevoir les informations utiles. Des études dans lesquelles des caméras suivaient le mouvement des yeux de l'internaute ont montré que celui ci recherche prioritairement le texte qui l'intéresse lorsqu'il arrive sur une page. Aussi si ces renseignements textuels sont noyés au milieu d'autres signaux visuels, l'internaute risque-t-il de ne pas les voir par effet de saturation.

Toutefois, Il convient de préciser que l'internaute développe assez vite des réflexes de défense
contre ces perturbations visuelles : la même étude a montré que celui ci ignore spontanément tout ce qui s'apparente à une bannière de publicité (même si ce n'en est pas...) dans les pages qu'il visite. Malgré tout, la présence d'images animées trop étroitement imbriquées dans le contenu constitue une réelle barrière à la visibilité des informations.
Les images hors contenus doivent donc être limitées au maximum : l'identification, le look professionnel des pages et la clarification entre zones décrites précédemment doivent s'opérer avec un minimum de recours au graphisme. La sobriété est un facteur souvent déterminant de l'utilisabilité d'un site, et donc de la qualité de l'expérience vécue par l'utilisateur.
Comme pour chaque élément de votre projet web, vous devez faire preuve de rigueur quant à l'intégration des éléments de charte graphique dans votre site web. Pour chacun d'entre eux, vous devrez vous poser les questions suivante :

Ce choix graphique contribue-t-il fortement à :
- identifier l'émetteur du site ?
- donner une apparence professionnelle au site ?
- clarifier les différentes zones de contenu et fonctionnelles des pages du site ?
- donner une place suffisante au contenu ?
- illustrer intelligemment le contenu ?

Et n'oubliez pas qu'une fois ces choix faits, seul un véritable test utilisateur (cf.veblog, pourquoi et comment tester votre site) vous permettra de savoir s'ils ont été pertinents. Une conception excellente sur le papier peut se révéler mauvaise vue de l'utilisateur, même si vous croyez avoir mis tous les atouts méthodologiques de votre côté. Trouver le bon compromis entre apparence visuelle et efficacité du design peut être une démarche nécessitant plusieurs tâtonnements avant de parvenir à l'équilibre idéal.

28 mai 2009

L'ÉCONOMIE DU WEB DANS LE MONDE

L’Importance de l’économie Internet

L'économie sur Internet se différencie de manière fondamentale de l'économie traditionnelle par trois paramètres clés : l'information, les connaissances et la vitesse.
Savoir utiliser la Toile pour gérer les relations avec ses clients et ses partenaires commerciaux est devenu la nouvelle arme secrète de la Netéconomie.

1) L'économie sur Internet a augmenté de 68% entre 1998 et 1999 et devrait atteindre 507 milliards de $ en 1999. À partir des chiffres du premier trimestre 1999 et en supposant que la croissance se poursuive au même rythme durant le reste de l'année, les auteurs de l'étude ont fait deux estimations pour les revenus de l'ensemble de l'année 1999 : 507 milliards de $ sur la base de la croissance moyenne et 531 milliards de $ sur la base d'une croissance composée, ces deux projections diffèrent de moins de 5%.

2) Le commerce électronique alimente une forte croissance des emplois liés à Internet. Ceux-ci sont passés de 1,6 million au début de 1998 à 2,3 millions au début de 1999, dont près de 400 000 liés au commerce électronique.

3) Une entreprise sur trois de l'économie Internet n'existait pas avant 1996. Internet a suscité une forte création d'entreprises aux États-Unis, qui ont créé 305 000 emplois.

4) L'économie sur Internet a une forte influence sur la croissance économique américaine. Malgré les difficultés théoriques de comparaison, les chiffres peuvent être mis en parallèle: l'économie américaine a augmenté de 340 milliards de $ en 1999, l'économie sur Internet de 200 milliards de $.

5) Internet augmente les bénéfices des entreprises. La part venant d'Internet est passée de 10% en 1998 à 14% en 1999. De plus, les recettes augmentent plus vite que le personnel, ce qui montre qu'Internet induit de forts gains de productivité.

6) Les gros poissons ne dirigent pas la mare. Les dix premières entreprises de l'étude ne gagnent que 27% des revenus. Ceci montre que, comme dans le reste de l'économie, les grandes entreprises jouent certes un rôle, mais que la plus grande part de la croissance économique et de la création d'emplois provient des PME.

7) Les investisseurs valorisent fortement les entreprises liées aux réseaux Internet. Les 294 entreprises qui font le plus d'affaires sur Internet ont une capitalisation boursière moyenne de 18 milliards de $, 30 fois plus que la moyenne de l'ensemble des entreprises cotées au NASDAQ.

8) L'économie sur Internet dépasse déjà des industries centenaires. Elle a déjà doublé les télécommunications (300 milliards de $) et les compagnies aériennes (350 milliards de $) et se rapproche de l'édition (750 milliards de $) et des soins de santé (1000 milliards de $). Directions de recherches futures.

Le futur de l’économie Internet

Aujourd’hui, dix ans à peine après sa première mise en œuvre commerciale, il est difficile de trouver un domaine d’activité dans lequel n’intervienne pas Internet.
Internet et les différentes technologies de l’information qu’il relie sont considérés comme des outils essentiels face à certains des enjeux les plus urgents de la planète : croissance économique durable, sociétés vieillissantes, gestion de l’environnement, efficacité énergétique, éradication de la pauvreté, et bien d’autres encore.

Les implications d’Internet pour le développement économique et social sont d’une portée considérable, notamment pour les prochains milliards d’utilisateurs.
• En juin 2007, 54 % des internautes ont acheté en ligne et 27 % des adultes téléphonent de leur
domicile en passant par une "box", contre 16 % en 2006 et 7 % en 2005 ;
• Développement des technologies de demain (très haut débit, télévision sur téléphone mobile,
radio numérique). 92 % des particuliers possédant une connexion internet sont déjà équipés en
haut débit ; L’économie Internet va-t-elle entrer en récession en 2009 ?

Depuis 2002, les nouvelles technologies et le web connaissent une croissance soutenue et régulière. Elle risque cependant d’être mise à mal en 2009. Toutefois, tous les secteurs ne seront pas également touchés. Si il semble évident que les grands groupes vont limiter leurs investissements en infrastructure et en communication, d’autres tireront forcément leur épingle du jeu.

Les sites de e-commerce notamment devrait continuer à croître grâce notamment à une politique de prix agressive et à un service toujours plus performant. Concernant le hardware et les éditeurs de logiciels, là encore tout le monde ne sera pas logé à la même enseigne. On l’a vu avec le succès des
netbooks, il y a une réserve de croissance dans l’informatique low cost de même que sur le marché du logiciel libre.

Enfin, comme c’est le cas lors de toute crise, un phénomène de concentration est à prévoir. Les acteurs importants, armés pour faire face à la situation, devront passer à l’offensive pour survivre et ce sont les entreprises en difficulté qui risquent de se faire racheter. Une chose est sûre, 2009 sera animée.

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27 mai 2009

Les bonnes postures devant l'ordinateur Pour

Les bonnes postures devant l'ordinateur

Pour votre confort et pour une meilleure productivité mise en garde contre les dangers liés à une mauvaise posture lors de l'utilisation d'un ordinateur :

L'utilisation du clavier ou de la souris peut provoquer des lésions musculaires et nerveuses, des tendinites assez graves. Si vous ressentez un engourdissement ou des douleurs dans la main, dans le bras, dans l'épaule ou dans la nuque, consultez un médecin. 

Quels sont les facteurs de ces douleurs ?

Probablement une mauvaise posture devant l'ordinateur et une utilisation prolongée du clavier et de la souris. Il semblerait que l'utilisation prolongée de la souris en particulier serait responsable d'engourdissement de la main et du bras. Ce dernier serait lié à une hypersollicitation des muscles qui utilisent la souris, par rapport aux autres muscles du corps, et à une tension prolongée de ces mêmes muscles.

Les bonnes postures à adopter

En premier lieu, il convient de respecter son confort. Changez régulièrement de posture lors d'une utilisation prolongée pour éviter crampes et contractures. Un bon maintien du dos Votre siège doit soutenir vos lombaires. Les tabourets sont donc à proscrire. Au besoin, ajustez votre siège par rapport à la hauteur de votre bureau pour une assise naturelle.

posture_ideale

Confort des jambes

Evitez d'entreposer un objet sous votre bureau (de type corbeille à papiers) pour faciliter le mouvement des jambes et leur assurer un plus grand confort. Ne croisez pas les jambes et si besoin, utilisez un repose-pied. Confort des bras et des épaules Placez clavier et souris au niveau du coude pour éviter de les étirer. Prenez également soin de les placer à la même hauteur. Les objets fréquemment utilisés doivent être à portée de main. Confort des poignets et des doigts On conseille de garder les poignets bien droits pendant la saisie, et de relever les pieds du clavier s'ils en possèdent pour améliorer le confort.

 

Prévenir le torticolis

Positionnez l'écran en face de vos yeux. Si vous portez des lunettes à double foyer, l'écran doit être positionné un peu plus bas; à moins que vous ne possédiez des lunettes conçues pour travailler devant un ordinateur. Confort des yeux Vous pouvez régler et réajuster la luminosité de votre ordinateur et choisir une police qui vous convienne davantage, pensez-y ! Optez pour un éclairage modéré de la pièce. Nettoyez régulièrement l'écran de votre ordinateur avec des produits, si possible adaptés. jpg_Geek_for_ever

 

Faire des pauses

C'est indispensable en cas d'utilisation prolongée. Pensez à réduire vos efforts en utilisant les fonctions rapides de vos logiciels, vous éviterez les gênes et serez plus productif. Lisez bien les notices d'utilisation pour connaître les fonctions rapides ou demandez des conseils à votre prestataire informatique.
En moyenne, comme pour l'utilisation des consoles, il est préférable de faire une pause de 10 à 15 min toutes les 2 heures.


26 mai 2009

Merci de cliquer ci-dessous pour télécharger mon

Merci de cliquer ci-dessous pour télécharger mon CV :
CV_BEYLARD_GUILLAUME

25 mai 2009

Rappel de règles typographiques

Les règles de typographie sont simplifiées sur Internet: accentuation, ponctuation, espaces, casse.
Adopter un code typographique présente l'avantage d'uniformiser le rendu écrit et de crédibiliser le contenu en garantissant un confort de lecture à l'internaute.

1. La police
- Police avec empattements (exemple : Times New roman,…)
- Police sans empattement (exemple : Arial,…)

Site de créations de Polices

2. La mise en valeur du texte

• Au départ du document, l’on saisit le texte au kilomètre sans mise en forme.

• Ensuite on met en valeur des mots, des paragraphes en se posant bien la question de la force
du message que je désire faire passer.

• Comment on s’y prend ?
- Gras
- Italique  : Dans le corps d’un texte, les italiques sont utilisés dans les cas suivants :
- Titre d’une oeuvre (l’Avare) ;
- Titre d’une publication, journal, périodique, etc. (Média) ;
- Les mots étrangers (Windows) ;
- Les dédicaces (À mon directeur préféré) ;
- L’usage fait également qu’on utilise les Italiques pour mettre en évidence un paragraphe, une re-
marque.
- Souligné : Le souligné n’est jamais utilisé autant sur un périodique papier que sur un périodique
numérique. Sur le web le souligné peut-être apparenté à un lien hypertexte.
- La couleur : Pourquoi en utiliser ? Que va t’elle m’apporter ? Va t’elle vraiment mettre en valeur
le message que je désire faire passer ?
Atelier : Observez bien un périodique papier puis numérique au niveau du gras, de l’italique et du
souligné.

3. MAJUSCULE ou minuscule

Les mots en majuscule entraine une monotonie au niveau de la lecture.
En français, la majuscule s’utilise dans les conditions suivantes :
- Premier mot d’une phrase (ou d’un vers) ;
- Début d’une citation, d’un dicton, d’une devise, d’un aphorisme ;
- Noms propres, prénoms, surnoms, pseudonymes, patronymes ;
- Noms de marques et de modèles de marque ;
- Noms des villes, pays, lieux-dits, peuples et habitants des régions ;
- Noms des partis politiques et ordres civils, militaires et religieux ;
- Noms historiques ;
- Noms des monuments publics ;
- Noms des sociétés, établissements, etc.
- Les sigles ;
- Les titres d’ouvrages ;
- Les points cardinaux (s’ils désignent une région).
- On n’utilisera pas les majuscules pour :
- Les noms des mois (janvier, thermidor) ;
- Les noms des jours (lundi, mercredi) ;
- Les titres et qualités des chefs d’état ou de gouvernement (le premier ministre) ;
- Les déterminatifs et adjectifs (la Légion d’honneur, la Cour suprême).
- Contrairement à un usage répandu, la majuscule est inutile après
- Les deux-points ;
- Un point d’interrogation ou d’exclamation qui ne termine pas la phrase.
- Atelier : Observez bien un périodique papier puis numérique pour y trouver des mots en majuscule. Combien ?
4. La ponctuation

Insérer une espace ? La ponctuation des signes simples et doubles
Les signes simples sont :
la virgule ","
le point "."
les points de suspension "..."
La règle est : "signe simple, espace simple" ; l'espace se trouve après le signe.
Les signes doubles sont :
le point-virgule ";"
les deux-points ":"
le point d'exclamation "!"
le point d'interrogation "?"
La règle est : "signe double, espace double" (une espace avant, une espace après).
Néanmoins, sur Internet, mieux vaut ne pas intégrer d’espace pour éviter le retour à la ligne d’un
élément isolé.
Autre solution : ajouter un espace insécable en HTML représenté par &nbsp ;
La ponctuation des parenthèses, guillemets, crochets, accolades
Laisser des espaces à l'extérieur, mais pas à l'intérieur.

2 exceptions : il n’y a pas d'espace entre la parenthèse finale et la ponctuation simple qui suit
pour les guillemets à la française « », appliquer la règle des signes doubles, soit des espaces
avant et après sauf s'ils sont suivis d'une ponctuation simple
Quelle ponctuation pour les listes à puces et à numéros ?
Pour les listes, il faut laisser une espace entre le tiret et le mot qui suit ; pour terminer une liste, 2
solutions sont possibles avec une préférence pour la seconde:

1) pas de virgule à la fin de chaque élément de la liste, ni de point à la fin :
ligne 1
ligne 2

2) un point-virgule à la fin de chaque élément de la liste, un point à la fin :
ligne 1 ;
ligne 2.

5. Les images

Pensez bien à diminuer votre image avant de l’utiliser sur un diaporama ou un article numérique.
Le fait de la diminuer sur votre support (un article par exemple) n’allège pas le poids de celle-ci.
Résolution de l’image : 72 dpi
Taille : Suivant votre besoin. La taille d’un acran est de 800x600 pixels en moyenne
Extension
GIF : Adapté pour des dessins comportant peu de couleur
JPEG : Adapté pour les photos
PNG : Adapté pour les photos, gère en plus la transparence

24 mai 2009

ponctuation

23 mai 2009

Le monde du Multimédia Des métiers pour le

  Le monde du Multimédia

http://stocks.monsitegratuit.com/upload/boulledogue/awt/mul,fr,100,010,005-illu01.png


Des métiers pour le multimédia, de Anne de Baenst-Vandenbroucke, Véronique Larant, Claire Lobet-Maris.

http://stocks.monsitegratuit.com/upload/boulledogue/awt/CoverMetier_500x500.png

Sommaire

Dans cet article je vais vous parler de 5 sortes de métiers:

http://stocks.monsitegratuit.com/upload/boulledogue/awt/mul,fr,100,010,002-Rosedesvents.png


Conduite de projet

Producteur

Le producteur a pour rôle de mener à bien les projets multimédias. C'est à lui de trouver les capitaux (l'argent) mais il doit aussi gérer l'idée centrale. Il doit également surveiller et superviser la production. Il travaille en général dans une société de production multimédia, il exerce un contrôle constant sur la qualité du travail et essaye de réunir, via des briefings et autres, les différents acteurs du projet. Son but, gagner du temps, réduire les coûts, accélérer la réalisation. Il peut aussi prendre en charge tout ou une partie des activités de marketing. Il travail souvent dans l'ombre mais est d'une importance capitale.

http://stocks.monsitegratuit.com/upload/boulledogue/awt/mul,fr,200,010,001.png

Il doit être au courant des rouages commerciaux, financiers, mais aussi juridiques. Il aime les responsabilités, cherche les idées nouvelles, garde les deux pieds sur terre et aime traduire ses idées en business.


Chef de projet

Egalement appelé réalisateur, le chef de projet est engagé par le Producteur dont il est le bras droit et il collabore avec l'auteur et le scénariste lors de la mise au point du scénario. Ensuite il est responsable de l'évaluation des moyens nécessaires pour mener à bien la réalisation. Il gère les besoins en hommes et en matériel ! Il aide à établir un planning. Il est responsable du respect du délais. Bref, c'est un peu le chef d'orchestre.

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Il est préférable qu'il ait le même profil que le producteur.
Salaires : - Agence numérique : 47 000 (chef de projet technique)
              - Agence corporate  : 50 000 (chef de projet web)


Veilleur

Le veilleur multimédia a pour rôle de surveiller les évolutions technologiques, concurrentielles et commerciales du multimédia et d'en dégager les tendances fortes sur lesquelles pourront s'appuyer de nouveaux développements.




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Il travaille pour le compte d'un client ou d'une entreprise et doit repérer les innovations en cours et analyser la portée du produit (ou du service) de l'entreprise. L'environnement peut être aussi concurrentiel, et commercial. Il collecte les informations, analyse et cible les résultats et les transmet à son client. Pour cela, il doit savoir utiliser les réseaux de contact (Digg, Facebook, LinkedIn) des journaux, des publications et internet.
Il doit également connaître les méthodes et les techniques de documentation, et connaître le domaine que l'on surveille et le produit pour lequel on veille.


Technico-commercial

Plus couramment appelé Agent commercial, il est en réalité l'intermédiaire entre le fournisseur et la firme cliente. Son rôle consiste à aider le client à définir son projet multimédia. Il interroge le client sur les particularités de son secteur et sur le positionnement qu'il entend occuper. Il doit analyser avec la firme cliente les capacités et les ressources qu'elle dispose pour développer ce projet. En gros, c'est lui qui aide à élaborer le cahier des charges. Il apporte ensuite son aide lors de la réception du projet tant au niveau de sa facilité d'utilisation que sa conformité au cahier de charges défini auparavant.

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Il doit avoir une excellente culture technique concernant le multimédia, pour pouvoir orienter le client vers un projet réaliste techniquement, mais il doit aussi sentir les tendances du futur qui donneront au projet un coté innovant, nouveau et moderne.


Ergonome

Il vérifie que les interfaces garantissent un usage confortable du produit et/ou du service multimédia. Il donne des conseils sur tout ce qui pourra contribuer à rendre le produit ou le service performant, convivial et accessible au plus grand nombre. On parle d'ailleurs beaucoup d'accessibilité dans le monde du web. Il est utile au début des travaux, afin de conseiller sur les éléments de navigation, la structure des pages, les liens logiques, mais également pour inspecter les travaux finis, pour repérer les erreurs, les liens morts, ... Son mot d'ordre, l'utilisabilité et l'accessibilité. Il touche à la psychologie de l'utilisateur.

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Il a des connaissances en psychologie, physiologie, en informatique et en sociologie, et connait également les normes internationales en matière d'ergonomie, et est attiré tout naturellement par les innovations technique et par tout ce qui peut rendre plus facile l'activité de tout un chacun.


Scénarisation & conception


Concepteur-réalisateur multimédia

Il adapte la scénarisaion du produit, dirige l'ensemble de la conception du produit ou du service multimédia, en interaction avec les différents concepteurs spécialisés. Il dresse l'arborescence du produit, veille à l'unité graphique, planifie les conséquences des différentes actions de l'utilisateur, c'est-à-dire l'interactivité, et garantit la cohérence de l'ensemble.



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Si le projet comporte un scénario à l'origine, le concepteur-réalisateur multimédia peut apporter sa contribution en composant un scénario supplémentaire, lui-même. Il fait partie des métiers de direction à mettre en parallèle avec les métiers de directeur artistique et de directeur technique. Il lui faut de l'imagination et de la créativité.


Concepteur texte

Il existe deux sortes de texte dans les projets multimédias. Les textes de trame et les textes rédactionnels. Les premiers constituent le décor textuel du projet, et restent relativement stables ou fixes tout au long de sa durée de vie. Les textes rédactionnels, eux, concernent les contenus et les messages qui font vivre le projet au quotidien, et font partie de la mise en valeur du produit et/ou du service multimédia.
La conception du décor textuel qui charpente le projet multimédia relève des compétences du concepteur texte.

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Le concepteur texte est un amoureux des mots, du langage et de la mise en forme textuelle et graphique des mots. Cette passion pour le langage se double par une connaissance parfaite de ses nuances et de ses usages. Il peut se glisser dans l’univers multimédia de l’auteur et du scénariste et le traduire dans des mots et des messages parlants pour le public visé.


Concepteur graphique

Plus couramment appelé graphiste, surtout dans le monde du web, il prend en charge toute la création graphique d’une œuvre multimédia, du début à la fin. Il s’occupe de l’illustration graphique du produit et/ou du service multimédia. Il peut intervenir à différents stades du projet. Dans la phase de préparation, il est utile dans la réalisation des maquettes graphiques qui illustrent visuellement les idées proposées par l’auteur et le scénariste. Par la suite, il crée les dessins des éléments graphiques prévus dans le scénario original, il s’occupe des personnages, des accessoires, du décor et de l’environnement visuel. Dans le cas d’un site internet, il peut également concevoir, avec un webdesigner, des écrans ou des interfaces. Il peut également travailler en étroite collaboration avec un infographiste pour l’informatisation des éléments graphiques.

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Le concepteur graphique est un artiste créatif ayant une bonne maîtrise du dessin, du graphisme, de l’illustration, de la pub et de la typographie (les polices utilisées). Il s’occupe également de la mise en page, de l’ésthétique. Il ne craint pas d’associer dessins manuels et procédés informatiques pour parvenir à la bonne réalisation d’une œuvre.


Concepteur sonore

Son rôle premier est de planifier et de réaliser un environnement sonore d’une œuvre multimédia. Il s’occupe donc de la musique, des bruitages et autres effets sonores.

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Une œuvre multimédia peut de moins en moins se passer d’un contenu sonore original, mais également de qualité. L’habillage sonore a de multiples atouts. Il crée une ambiance, améliore les sensations visuelles et auditives, il capte l’attention. Il remplit un rôle parfois fonctionnel et participe de façon active à la narration du scénario. C’est ici que le concepteur sonore intervient. Il imagine et réalise l’environnement sonore autour d’un projet. Il est tantôt compositeur, tantôt instrumentiste mais également technicien expert dans la prise de son, le montage et le mixage, jusqu’à ce qu’il obtienne une piste sonore finale.
Il est à la fois artiste, compositeur, passionné de musique sur ordinateur, bon technicien, spécialiste des montages et des sons. Il a une bonne connaissances des différents grands genres musicaux, et jongle facilement entre différents types de sons et se tient au courant de toutes les nouveautés techniques en matière de son et de musique.

Concepteur photo

Dans une oeuvre multimédia, le concepteur à le rôle de prendre en charge les illustrations photographiques et imagées, soit sur bases de ressources déjà existantes, soit sur une nouvelle base.
Les illustrations ayant pris de plus en plus de place dans les oeuvres multimédia en général, le concepteur photo a commencé à prendre une place extrêmement importante dans une réalisation. C'est en effet lui qui doit s'attaquer à tous les aspects visuels de l'oeuvre. Il prépare et réalise les prise de vue, les mises en scènes et les photographies. Il peut également baser son travail sur des images déjà existante, grâce à des bandes de données telles que Flickr.com par exemple.

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Le concepteur photo est, évidemment, un professionnel de la photographie. Il maîtrise l'univers de l'image, des couleurs, des prises de vues, des réglages, du développement, allant de la retouche à l'impression, mais également les droits de reproduction, etc. Tantôt artiste, tantôt créateur, il a un grand sens artistique, et peut être perfectionniste en ce qui concerne l'esthétique. Il est important qu'il s'adapte aux attentes du public pour que l'oeuvre aie du succès.


Concepteur vidéo

Le concepteur vidéo et à la vidéo ce qu'est le concepteur photo à l'image. Avec la présence de la vidéo, l'application multimédia se met à bouger. Elle s'anime de petits films ou clips vidéo qui viennent soutenir, illustrer, documenter le propos et en tout cas le rendre plus vivant.

Son rôle principal dans une équipe est d'élaborer un scénario pour définir les parties vidéos. C'est lui qui décide de l'ordre des séquences vidéo, mais également du support sur lequel elles seront visibles (Page web, Console de jeux, Portable (GSM), ...)

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Ses points forts sont sa grande connaissance cinématographique mais également son sens artistique. Il possède également un bagage publicitaire et un esprit logique. Il aime les heures supplémentaires car il est passionné et curieux.


Mise en œuvre et réalisations graphiques/artistiques

C'est un des chapitres les plus importants de l'article car il nous intéresse dans le sens où tous ici sommes passionnés de réalisations graphiques et artistiques:

Directeur artistique

Le directeur artistique est le responsable de l'aspect artistique d'une production cinématographique ou audiovisuelle, d'une campagne de publicité, d'une publication ou d'un projet multimédia.

Plus concrètement, le directeur artistique est chargé de superviser tout l'ensemble de la conception graphique d'un objet. Il est créatif et très artiste dans l'âme. Ce sont eux qui élaborent l'identité visuelle d'un magazine ou d'un produit, et qui réalisent les spots télés des journaux télévisés. Il a la lourde tâche de diriger la mise en oeuvre de toutes les idées et directives mises au point lors de la scénarisation et de la conception pour les aspects graphiques et artistiques.


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Le concepteur multimédia maîtrise parfaitement les outils tels que la typographie, la photo, la sonorisation, l'écriture des scénarios mais également le dessin la photographie, la vidéo, l'animation d'image de synthèse, 2D, 3D, musique et sculptures, ... Les années d'étude pour devenir Directeur artistique durent entre 4 et 5 années d'études.

Salaires :
Agence numérique : 60 000
Agence de design : 45 000
Agence de Publicité : 36 000


Infographiste

Mettre en œuvre et réaliser les aspects visuels qu'ils soient graphiques ou artistiques d'un produit ou d'un service multimédia, tel est le travail de l'infographiste.
Comme son nom l'indique, l'infographiste est un spécialiste du graphisme informatique. Il crée des dessins à l'aide de logiciels adaptés au dessin sur ordinateur.

Son boulot est varié et demande des dons artistiques associés à une habileté technique. Il crée ou traduit les dessins des personnages, décors, icones, animations et autres dans un format numérique, en suivant les directives du concepteur graphique. S'il a besoin d'utiliser des éléments visuels déjà existants comme des photos ou des vidéos, il doit alors les numériser et les adapter pour une visualisation optimale sur le matériel utilisé (ordinateur, console, GSM, PDA / Assistant personnel (Personal Digital Assistant)
Ordinateur de poche offrant de nombreuses fonctionnalités: applications bureautiques, connexion Internet, téléphonie sans-fil, WiFi, Bluetooth, appareil photo, etc. La frontière en PDA et smartphone est de plus en plus étroite, etc.). Pour cela, il a recours à des logiciels spécialisés qui lui permettent de faire corrections, filtrages, effets spéciaux, etc.

L'infographiste est engagé par le directeur graphique. Lorsqu'il n'y en a pas, le projet se réalise entre l'auteur, le concepteur et l'infographiste, avec l'aide d'un chef de projet. L'infographie est tellement vaste que des spécialités existent: spécialiste en image de synthèse, spécialiste 3D ou animateur 2D/3D. Ce sont les techniques et astuces élaborées par les infographistes qui rendront l'oeuvre multimédia agréable et facile à contempler et qui donneront l'envie de s'y plonger.

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Ne croyez pas non plus que ce métier est récent. Il existe en effet depuis 1973 avec la création expérimentale d'hologrammes par ordinateur. C'est dans les années 90 que les avancées techniques ont pu être assez prêts que pour être confiés aux infographistes.

Salaires :
Agence numérique : 38 000
Studio de création : 27 000 => 38 400 (junior/senior)
Agence de Publicité : 30 000

 

Plus d'info >>>

le site d'un infographiste, pour vous donner l'idée du travail d'infographiste:

http://www.sgraffit.com/

L'infographiste est un pro des outils graphiques sur ordinateur, tels que Photoshop, Blender, Gimp, 3DSMAX, etc. Il dispose d'une formation en arts visuels, le sens de l'harmonie, de l'équilibre et du message visuel. Il impose un style adapté au produit à réaliser. Il connaît le multimédia et les différents processus de fabrication.


Webdesigner

le webdesigner est l'infographiste qui ne s'occupe que du Web. Il "définit la représentation graphique de l'interface d'une page web, ainsi que son comportement et son ou ses interactions avec l'internaute, l'utilisateur du web". Il associe rigueur et inventivité pour séduire le visiteur.

Dans certains cas, le webdesigner peut même prendre en charge la réalisation pratique de l'ensemble du site Web et travailler en tant que développeur de site Web. Il est donc important qu'il ait un bon bagage des langages et techniques du Web.

Il réalise également l'arborescence des pages, l'organisation des pages, et tient compte des contraintes techniques, d'ergonomie, d'utilisabilité et d'accessibilité. Le webdesigner s'y connait en programmation, en interactivité, en W3C (le WWW Consortium), en accessibilité et en portabilité. Il commence par réaliser une maquette fonctionnelle du site, annote les informations importantes et autres modifications, puis crée une maquette graphique, qu'il transformera par la suite en lignes de code et images pour que le résultat s'affiche dans votre navigateur Web.

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Il est obligatoire que le webdesigner maîtrise les logiciels tels que Photoshop, et du dessin vectoriel. Il maîtrise les langages à balises tels que le HTML, le XHTML, le XML, le RSS, etc. mais également les acronymes tels que URL, HTTP, FTP, CSS, JS, ...


Formation

La meilleure formation pour le webdesigner consiste à suivre des études en graphisme alliant art et technicité, avec une préférence pour les options qui intègrent une spécialisation en "infographie". Il peut ensuite perfectionner sa formation en suivant une formation complémentaire en infographie avec une option Web, ou tout simplement en webdesign.


Salaires :
Agence numérique : 38 000
Agence corporate :  40 000
Charte graphique simple : de 1 200 à 1 600€
Site web complet simple : 1500 à 2000€
Site web moyenne entreprise : 3 000 à 8 000€
Site web grosse entreprise : 25 000€

Exemple du travail de webdesigner:

http://www.web-designer.be/

Spécialiste en image de synthèse

Le spécialiste en images de synthèse d’un produit et/ou d’un service multimédia est en réalité un infographiste capable de réalise des images entièrement par des moyens informatiques, ainsi que des effets spéciaux visuels. C’est grâce à lui que l’œuvre multimédia « entre dans le monde de la réalité virtuelle ».

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Avec l’ère numérique, une nouvelle culture de l’image est née, l’image ne procède plus seulemet par capture de ce qui nous entoure, mais elle est calculée et gérée par l’ordinateur, elle permet de représenter également ce que nul ne peut voir à l’œil nu. Les images de synthèse permettent au spécialiste de s’exprimer en toute liberté, et de donner vie à un environnement, grâce au rendu, qui ajoute un maximum de réalisme et une haute qualité graphique. Il peut travailler en 2D comme en 3D.

Le spécialiste en image de synthèse est un infographiste spécialisé dans la technique de création et de modification d’images sur ordinateur. Il connaît les programmes et leur utilisation, et les outils professionnels de ce domaine. Il est technique et artistique et est sensible à la création audio visuelle. Il peut également être formé à l’étranger, aux Etats-Unis par exemple.


Spécialiste 3D

Le spécialiste 3D donne le relief à toutes les œuvres multimédia 3D. En bref, il est celui qui se situe entre le développeur et l’infographiste. Il construit des modèles qui serviront à créer et à réaliser les représentations des objets en trois dimensions, et qui donnent cet effet et cette sensation de relief. Il est capabe de créer des animations en trois dimensions réalistes. Il procède en trois étapes :

L’analylse de l’objet à traîter, sa modélisation et sa finition. Il intervient surtout dans les deux premières étapes. Lors de l’analyse, il décompose en une multitude de points les éléments graphiques créés précédemment par l’illustrateur graphique, et l’équipe de création. Vient ensuite le travail de modélisation qui consiste à formaliser les profils et les différentes vues qui permettront de donner une consistance à la représentation en trois dimensions.




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Une fois le modèle créé, il calcule l’éclairage, le projète dans un plan d’observation, applique les textures, teste, essaie, observe… Il examine ensuite l’objet à une distance quelconque et sous tous les angles, pour finir par ajouter l’environnement visuel, avec l’aide du spécialiste en images de synthèse.

Il possède une bonne maîtrise des logiciels très poussés tels que 3DSMAX ou Blender, visualise facilement des objets dans l’espace, et possède une très bonne connaissance des images numériques et des techniques du dessin assisté par ordinateur. Il est également doué en mathématiques et en informatique, et il lui est quasiment obligatoire d’ajouter une formation complémentaire à un logiciel d’image 3D.


Animateur 2D/3D

L’animateur 2D/3D prend en charge la réalisation des animations des éléments visuels du produit ou service multimédia. Il met en mouvement les éléments visuels à animer en utilisant les technologies numériques d’animation (dont Flash par exemple).

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Que l’animation soit composée de plusieurs images, de flou en mouvement, ou d’éléments sous une forme bien élaborée, l’animation crée une impression de vie et éveille les sens. L’animation peut prendre de diverses formes. Il peut créer un fondu enchaîné de photographies, et considérer déjà cela comme une animation, soit en 2D qui donne l’illusion du mouvement sur une surface plane ou en 3D qui recouvre la création d’images mobiles en 3D, c’est l’animateur 2D/3D qui s’en occupe. Il peut créer des images, des titres, des bannières publicitaires, des boutons destinées aux pages web… Il s’y connait en réalisation de décors, en colorisation, en cadrage et en montage, ainsi que les formats numériques. Son métier c’est sa passion, il est capable de coordonner les décors et les effets spéciaux, d’ajouter l’impression de relief, de mettre des couleurs, et de créer sa tendance. A la fois informaticien et créatif, l’animateur 2D/3D est donc devenu parmi les indispensables.


Développement informatique et technique

Cette catégorie de métiers rassemblent les professions qui sont utiles dans la réalisation d'une oeuvre multimédia, mais au niveau technique et non pas artistique. Nous allons voir le directeur technique, le programmeur, le développeur, l'administrateur de base de données ainsi que le développeur d'animations interactives, l'intégrateur/monteur multimédia et l'expert en sécurité.


Directeur technique

Responsable du développement informatique et technique, le directeur technique a comme rôle de définir, sur base de documents, les choix à prendre pour obtenir la ou les meilleures solutions informatiques et techniques. Il est capable d'évaluer la faisabilité au niveau technique, propose des solutions pour le traitement au niveau informatique, et est en communication avec le chef de projet et le directeur artistique. Employeur ? un peu, son rôle est également d'embaucher des collaborateurs. Il étudie les besoins en équipement, en matériel et les besoins humains. Il peut même s'occuper des achats si nécessaire. Il coordonne la programmation, et supervise les choix techniques. Il s'occupe également de la partie budget.

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Le directeur technique est expert dans tous les domaines informatiques et techniques en rapport avec la réalisation multimédia. Il fait preuve de professionnalisme et d'expérience. Il négocie et dialogue aisément, possède l'esprit d'équipe, équipe qu'il doit être capable de diriger. Il sait utiliser une multitude de logiciels, soit pour le développement, soit pour l'intégration multimédia, et également les logiciels auteurs. Bref, un métier d'avenir.

Salaires :
Agence numérique : 55 000
Agence corporate : 72 000


Développeur/Programmeur

Le métier de développeur programmeur consiste à développer et programmer des applications informatiques, c'est à dire transformer un besoin d'une clientèle en solution informatique et ce dans un langage informatique qu'il choisit.

Le métier d'analyste-programmeur demande des connaissances techniques spécifiques en développement informatique, en particulier en programmation objet et en génie logiciel. La connaissance de la modélisation UML est généralement nécessaire.

Il maîtrise plusieurs langages de programmation tels que le Java et son environnement, le Framework .NET ou encore le C. Sa maîtrise de la langue anglaise est très très importante car tous les manuels informatiques sur la programmation sont en anglais, et les gens qu'il pourrait cotoyer dans le milieu parlent également anglais.

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Formation

En France: Le poste de développeur est accessible aux titulaires de diplômes Bac+2 à Bac+5. Les maîtrises d’informatique ou les M.i.a.g.e (Maîtrise de méthodes informatiques appliquées à la gestion des entreprises) sont des voies royales pour ce type de poste. Le salaire va de 2000 à 3100€ par mois. Avouez que ca peut être pas mal, 2000€ en commençant :)

Le développeur/programmeur multimédia est passionné d'informatique, se tient au courant de toutes les dernières nouveautés techniques dans le domaine de l'informatique et du muiltimédia. Il est également attiré par "les aspects de mise en pages et de présentation graphique".

Salaires :
Agence numérique : 30 000
Agence corporate:  45 000


Administrateur de base de données

Les entreprises, ainsi que les particuliers, ont besoin de plus en plus d'espace de stockage de données, ainsi que le ou les classements qui viennent avec. Une entreprise, qui possède des informations telles que le nom prénom adresse d'un client, nécessite un administrateur de base de données, qui sera le technicien pour assurer un bon fonctionnement de la base de données au jour le jour. Il gère, trie, classe, organise en toute fiabilité les systèmes de gestion de la base de données de l'entreprise. Il doit même être capable de gérer plusieurs bases de données tout en maintenant qualité et sécurité. Il est rigoureux, aime le travail bien fait, à le sens de la méthode, ouvert d'esprit, communique facilement et, si possible, maîtrise la langue anglaise.

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Salaires

Le salaire d’un débutant se situe entre 2 300 et 3 000 € brut par mois selon son niveau d’études et la complexité de la tâche. Il aime travailler en équipe, ou diriger une équipe. Il a le sens des responsabilité. Ses responsabilités s'exercent en grande partie dans un bureau, avec horaires réguliers, "mais elles peuvent nécessiter des interventions à l'extérieur, en soirée ou le week-end, afin de perturber le moins possible les utilisateurs".

Etudes / formations

4 années d'études supérieures en moyenne et une expérience de 5 ans dans le développement informatique sont souhaitables.

- BTS informatique de gestion,
- DUT informatique,
- diplôme d'IUP,
- licence pro, master de recherche, master pro à l'université,
- diplôme d'ingénieur.


Développeur d'animation interactive

"Le développeur d'animation interactive est un spécialiste mi-créatif mi-technique qui est chargé de concevoir et de réaliser les animations interactives évolutives de plus en plus utilisées dans les projets multimédias".

La fonction de développeur d'animation a pour objectif de conceptualiser, de programmer un contenu animé interactif dans une multitude d'outils, de formats, de langages de programmation, langages incluant notamment Flash, Shockwave, Javascript, Java, ActionScript et AJAX.
Il crée, il innove des applications interactives, de plus en plus utilisées par les entreprises et les particuliers. Son travail est autant technique qu'artistique, ce qui amène ce développeur d'animations à travailler sous la double responsabilité du directeur technique et directeur artistique, avec comme collègues l'infographiste, l'animateur 2D/3D, le spécialiste en images de synthèse, et le spécialiste 3D.
Les entreprises font appel à eux lorsqu'elles ont besoin de "projets incluant par exemple des publicités en ligne cliquables ou des jeux interactifs, des présentations animées incluant des liens, des vidéos interactives ou tout autre composant faisant intervenir de l'interaction en interne".

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Il travaille en équipe multidisciplinaires, il est autonome, flexible, et ouvert d'esprit. Il parle bien, écrit bien, et a le contact facile avec les autres. Il est attentif aux détails (Cclleemm?) et est réceptif en ce qui concerne les nouveautés techniques en matière de programmation visuelle.

Exemple d'animation interactive:

http://www.edumedia-sciences.com/fr/


Intégrateur/Monteur multimédia

L'intégrateur/monteur multimédia est responsable des travaux de parachèvement du produit ou du service multimédia. Il regroupe tous les éléments après la réalisation et les tests.

Un programme est constitué de différents types de médias. A l'aide d'outils spécifiques, l'intégrateur/monteur multimédia a pour fonction principale (il en a d'autres ;) ) de rassembler, et d'intégrer ces différents types de médias, pour finir par obtenir un site web, un CD ROM, un DVD, ou toute autre application multimédia. Son rôle d'orchestration permet de faire interagir et de piloter une navigation entre les écrans, grâce à des zones cliquables, des liens hypertextes, des boutons, etc. Il monte les différents éléments, les mixe, anime les différents écrans (par écran, on entends page, s'il s'agit d'un site web par exemple), il veille à une grande interactivité pour un résultat attrayant et dynamique.

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Son métier est essentiellement technique, mais requiert certains qualités artistiques. L'intégrateur/monteur multimédia est passionné d'informatique, et a une affinité pour les logiciels informatiques.

L'intégrateur/monteur multimédia aura à la base une formation informatique de niveau bachelier ou master. Il doit pouvoir maîtriser les langages de programmation utilisés pour les applications multimédias, de même que des langages à balises comme l'HTML, le XHTML, le XML...

Il est mieux pour lui d'être bien formé, de faire formations sur formations, même si certaines sont en anglais et à l'étranger.


Expert en sécurité

Etudier la sécurité des produits et/ou des services multimédias, tel est le rôle principal de l’expert en sécurité. Il crée, élabore des procédures, des formations et des « boîtes à outils » de sécurité, pour l’ensemble des utilisateurs potentiels. Il veille au respect des règles qu’il a établi lui-même. Il propose des solutions visant à garantir la sécurité de l’ensemble du produit ou du service. Il observe et analyse les conséquences de la vulnérabilité d’une application. Il intervient lors des crises et participe à la résolution curative. Savoir-faire technologique, maîtrise des techniques, procédures et règles de sécurité, gestion des risques, connaissances de la loi concernant la sécurité, sont des compétences demandées à cet expert en sécurité. Il s’occupe de la sécurité pour la défense, l’attaque, la dissuasion, l’anticipation, mais également la protection contre des menaces potentielles (intentionnelles ou non).

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Il s’occupe également de la garantie de la propriété privée, et aux règles de confidentialité. L’expert peut être informaticien, scientifique et sociologue. Il travaille, en général, avec le chef de projet, ou en sous-traitance. Il possède un sens de la méthode, est pragmatique et disponible. Il a une bonne faculté de communication et d’écoute. Il doit intervenir souvent dans des situations imprévues, il doit être résistant au stress et apte à travailler dans la précipitation. La connaissance des protocoles (IP, FTP, POP, etc) et la connaissance des réseaux internet est importante.


Valorisation et soutien multimédia


Rédacteur multimédia

Le rédacteur multimédia est spécialiste dans l’écriture sur les supports multimédias (Cd-rom, Dvd, Internet, etc.). Il choisit le style d’écriture qui convient le mieux, et l’écriture multimédia est complexe : elle intègre le texte, mais également les sons, les images dans le même support. Son travail consiste à alimenter en articles, billets et messages, tout en veillant à la qualité et à la convivialité du style d’écriture. L’écriture doit être adaptée aux utilisateurs et à leurs exigences. Il doit être attentif aux méthodes de lecture de l’utilisateur, y compris le balayage rapide de l’information. En effet, vous comme moi savons que sur internet, nous ne lisons pas les textes comme dans un livre, mais que nous allons directement à l’essentiel. Deuxièmement, le rédacteur multimédia peut mettre un style d’écriture dit « en relief », une écriture basée sur des hyperliens guidant l’utilisateur, le lecteur, dans l’information et lui permettant une lecture à la carte.

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C’est pour ces raisons que le travail de rédacteur multimédia peut être plus complexe que le travail d’un rédacteur classique. Il est en effet plus compliqué d’écrire et d’organiser une navigation intelligente entre différents éléments d’information que de rédiger un texte, précis et de qualité sur une information concise.
Le rédacteur multimédia est :
-Un professionnel de l’information
-Capable d’adapter un contenu à différents supports de communication
-Capable d’écrire de manière simple & concise
-Capable d’adapter le contenu à l’utilisateur.


Webmaster

Le webmaster est le responsable de la maintenance d’un produit ou d’un service multimédia destiné à être mis en ligne.

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Il est le garant de la qualité, le surveillant du contenu, mais également gardien de l'accès en étant capable de réparer les problèmes techniques de programmation ou de bases de données, ou encore les problèmes du serveur. Le métier de la maintenance des produits ou services multimédias en ligne, comme des sites internet, demande un savoir-faire en tout point semblable au métier de l'entretien de parcs et jardins.

Le webmaster doit être familiers avec des aspects techniques et visuels des produits et services en ligne dont il s'occupe. Il aime la présentation graphique et artistique sur internet? Il connaît bien les logiciels (Dreamweaver, Photoshop) ainsi que les langages de programmation tels que HTML, CSS, ASP, PHP, ...


Modérateur-animateur multimédia

Le modérateur-animateur multimédia a pour rôle principal d'assurer la gestion quotidienne, la tenue et la bonne ambiance des échanges sur les supports multimédia. Gérer veut dire plusieurs choses: gérer les messages des utilisateurs, les utilisateurs, les avatars, les sujets, etc.

Il est de plus en plus utile dans les espaces d'expression interactifs qui proflifèrent depuis l'ère du Web2.0. Ces blogs, ces forums de discussions, ces chats, ces sites de réseaux sociaux, et lesl istes de diffusion ont besoin de ces modérateur-animateur multimédia.

Le modérateur-animateur est en fait indispensable à la naissance des communautés virtuelles, des regroupements d'individus, quoi se ressemblent pour apprendre par exemple, comme sur MonSiteGratuit.com


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Le modérateur-animateur est un gardien de la convivialité et du respect en charge de la délicate mission de stimuler et de cadrer les échanges.

Il veille à recentrer les débats et à veiller la bonne tenue de l'ensemble des espaces de discussion dont il est responsable. En tant qu'animateur, son objectif est de rassembler les participants, de les motiver, de provoquer des discussions et d'en maintenir l'intensité. Dans la pratique, il arrive souvent que la fonction de modérateur-animateur multimédia soit confiée à un webmaster.

C'est un internaute passionné internaute confirmé, maîtrisant l'ensemble des outils d'expression interactifs. S'il n'existe actuellement aucune formation spécifique pour occuper la fonction de modérateur-animateur multimédia, une formation de base en communication, en droit et en informatique peuvent constituer une porte d'entrée vers ce domaine.

Référenceur

Artisan de la notoriété d'un site web, sa mission est de donner toutes les chances pour qu'un site se classe dans les premiers résultats de moteurs ou d'outils de recherche lors des requêtes formulées par les utilisateurs.

Il existe tellement de pages sur internet que la notoriété d'un site web sur internet nécessite toutes des méthodes pour être le mieux référencé par les outils de recherches existants pour pouvoir se faire connaître.

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Le référenceur est le maître d'oeuvre de la visibilité sur Internet et agit à différents niveaux.
Analyser le positionnement d'un produit ou d'un service multimédia en ligne dans les outils de recherche et ses besoins en matière de référencement. Il examine également les concurrents et leurs efforts de référencement. Il crée des mots-clefs appelés aussi Meta-Tags, des titres, des descriptinos pertinantes, explicites, accrocheuses, il est également occupé de la pub.

 

Sites web:

Siep.be, Wikipédia, Google, Facultés d'informatique, FUNDP (Facultés universitaires Notre-Dame de la Paix) Namur.

http://www.awt.be

(Agence Wallonne des Télécommunications)
Et également des informations de la Région Wallonne.

http://cidj.com

http://haute-ecole.provincedeliege.be


Magazine
Créanum n°136 (pour certains salaires)

http://www.creanum.fr

Les salaires que vous pourrez voir sont des moyennes et représentes les salaires annuels bruts exprimés en euros, représentant le salaire gagné par un nombre significatif de personnes travaillant dans le milieu soit du marketing, soit de la création, soit de la communication.

Une version PDF:

Une belle version PDF de cet article est disponible à l'adresse suivante:

http://stocks.monsitegratuit.com/upload ... imedia.pdf

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